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En matière de santé, prudence est mère de sûreté !

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Certains collègues se retrouvent fort démunis, quand la maladie frappe à leur porte. Cet article a pour objectif d’indiquer les démarches à effectuer, pour éviter la précarité, si la pathologie devait se prolonger.

Vous avez droit à trois mois de congé maladie ordinaire (CMO), rémunérés à plein traitement. Au-delà des trois mois, s’il est nécessaire de prolonger l’arrêt, vous serez rémunéré à demi-traitement. Au moment où vous êtes destinataire de l’arrêté de demi-traitement, fourni par l’administration, transmettez-le à votre mutuelle. Vous pourrez le déposer dans l’espace prévu à cet effet ou le faire parvenir par courrier. Conservez toujours une photocopie, en cas de perte.

Cette démarche initiale déclenchera la procédure de prise en charge du dossier. Par la suite, il vous sera demandé de fournir le récapitulatif des anciens arrêtés, en fonction de l’évolution de votre état de santé, veillez à bien les conserver !

Quelle que soit la mutuelle choisie, le SNALC rappelle qu’il est impératif de souscrire une prévoyance pour bénéficier de la prise en charge du complément de salaire. A titre d’exemple, la MGEN indemnise les adhérents à hauteur de 77% du salaire brut et ne pratique pas d’exclusion, quelle que soit l’affection dont vous souffrez. Certaines mutuelles proposent des contrats de prévoyance, avec ou sans exclusion, vérifiez bien les clauses. Assurez-vous de la période d’indemnisation : est-elle limitée ou illimitée ?  Le niveau d’indemnisation est également à prendre en considération. Le conseil du SNALC : renseignez-vous au préalable sur les conditions du contrat. Consultez également la médecine de prévention pour solliciter un congé longue maladie, au terme des 3 mois de CMO.

Concernant la réforme de la protection sociale complémentaire au 1er janvier 2025, le SNALC vous renvoie au lien suivant :

La protection sociale complémentaire pour les personnels de l’éducation nationale, de la jeunesse et des sports

Le SNALC, c’est l’assurance de bénéficier de conseils avisés. Quand la maladie fragilise, rien de plus réconfortant qu’une organisation déterminée à défendre vos intérêts.

 

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