Qui sommes-nous ?
Le SNALC est fermement attaché à la laïcité et aux principes républicains. L’école de la République est le lieu de la neutralité politique et de l’indépendance face à tous les pouvoirs. C’est dans ce cadre que peuvent se développer les libres penseurs et c’est pour cela que le SNALC se veut lui-même indépendant et le proclame dès le premier article de ses statuts : « Le SNALC est indépendant et libre de toute attache à une organisation politique, confessionnelle ou idéologique. »
Depuis sa création, le SNALC défend un enseignement public de qualité.
Dans le premier comme dans le second degrés, ainsi que dans le post-bac, il est attaché à la transmission des connaissances car le tout-compétences ne donnera jamais aux futures générations la compréhension du monde et l’ouverture d’esprit nécessaires à la maîtrise de leur avenir. C’est pourquoi le SNALC défend les disciplines et les savoirs face à un enseignement rimant avec méthodes et transversalité vides de sens.
Le SNALC promeut cette notion souvent malmenée qu’est l’effort. Mais il veut aussi que chaque élève de se développe à son rythme et aiguise ses appétences.
Liberté pédagogique, laïcité et connaissance, telles sont nos valeurs. Elles sont aussi, avec la revalorisation et la restauration du respect de nos métiers, nos luttes quotidiennes.

SNALC Strasbourg : qui sommes-nous ?
SNALC STRASBOURG Siège du SNALC de Strasbourg : SNALC Strasbourg 303 route d’Oberhausbergen 67200 Strasbourg snalc-strasbourg@snalc.fr 07 81 00 85 69 Président : Jean-Pierre GAVRILOVIĆ

SNALC ECOUTE
Nouveau service exclusif pour les adhérents du SNALC Ne restez plus isolé ! SNALC Ecoute : 01.84.60.89.87 Permanences les lundis, mercredis et vendredis 18-21h Le

Liberté et (ex)pressions : « Mais que fais-tu sur une liste du SNALC ? »
Le mouvement #PasDeVague a révélé un besoin de libérer l’expression sur les pressions et les violences que l’on s’obstine à appeler pudiquement « incivilités »

LE SNALC SORT DU RANG
L’édito n° 9 – Octobre 2017 Un mois s’est écoulé déjà depuis la rentrée. Et déjà, un constat : les petits caporaux sont toujours là